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MAYCO a une formation d’architecte obtenue aux États Unis et une réelle fascination pour les couleurs et les formes. 

Autodidacte, elle multiplie les expériences et a, depuis 2009, trouvé un style qui lui convient, en créant des pièces de puzzle géantes colorées

Mayco s'est également essayée à la création de quelques pièces d'ameublement qui ont été repérées par des professionnels.

 

Les couleurs, les formes collectées depuis son enfance ne demandent qu’à sortir.

L’association de ces couleurs, des pièces de puzzle, sont pour elle, comme un jeu d’enfant.

Elle peint sur ses pièces, jouant avec leurs jolies courbes, leurs formes variées.

Elle les éparpille provoquant chez celui qui les regarde un retour à l’enfance : 

Que représente cet ensemble de pièces ? Dans quel sens vont-elles ?

Inconsciemment, s’arrêter et se poser ces questions

Mayco s'amuse à partager ses peintures, créant alors la possibilité d'une parole, d'un échange,

une invitation à la discussion, à la rencontre.

 Moments particuliers dans une vie, ceux qui relient les êtres, les uns aux autres, comme les pièces d'un puzzle ?

 

C’est donc une invitation, un retour à l’enfance que nous propose Mayco, laissant chacun se glisser dans son imaginaire comme si  les fragments de puzzle représentaient une bribe de souvenirs et l’ensemble deviendrait une image éphémère sur sa propre enfance. 

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Mayco nous invite à manipuler mentalement les différentes pièces, les assembler, les détacher et imaginer la meilleure association qui réveillerait en nous des souvenirs  enfouis.

Et, même si l’enfant sommeille en lui très profondément, Mayco veut provoquer chez l'autre un retour vers des réflexes que nous avons tous eu d’associer des formes les unes aux autres, les unes dans les autres pour se demander au final, tout comme on le ferait lors de la lecture d’un poème : 

"Mais qu’à voulu dire l’artiste ? " 

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Regarder une création de Mayco, c'est ouvrir une fenêtre sur l'enfance.

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                                                                                                                 M. M.

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